►►Le 22 juillet 2025 à Phnom Penh, l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN) a renouvelé sa détermination à renforcer la résilience régionale aux catastrophes.
Afrique54.net‹ Sous le thème : ‘’Renforcer la résilience de l’ASEAN et renforcer notre leadership en matière de gestion des catastrophes sur la scène mondiale grâce à ARDEX’’, c‘est la deuxième fois que le Cambodge accueille cet événement important, après la première en 2006. « Je tiens également à féliciter Son Excellence Kim Virak, Secrétaire Général du Comité National de Gestion des Catastrophes (NCDM), pour l’organisation réussie d’ARDEX-25 », a déclaré Dr Kao Kim Hourn, Secrétaire Général de l’ASEAN.
Le SG a souligné le rôle essentiel d’ARDEX comme pierre angulaire des efforts de l’ASEAN pour renforcer la résilience régionale aux catastrophes. Il a souligné que grâce à des exercices de simulation coordonnés, ARDEX permet aux Etats membres de l’ASEAN et aux parties prenantes concernées d’évaluer l’efficacité des mécanismes existants pour répondre aux urgences complexes. Kao a aussi noté que l’exercice favorise un esprit de solidarité et de responsabilité collective entre les Etats membres.
L’ARDEX-25 a permis de réfléchir sur un système de gestion des catastrophes plus réactif et adaptatif face à des catastrophes naturelles de plus en plus graves et fréquentes. « Je salue la participation de nos partenaires, notamment le Centre d’excellence sur la gestion des catastrophes des Etats-Unis, qui a déployé ses experts pour aider à l’élaboration de scénarios d’exercices, l’équipe de la République de Corée qui participe aux exercices de simulation et de formation sur le terrain, et la présence d’observateurs des partenaires externes de l’ASEAN et des parties prenantes concernées », a laissé entendre Kao Kim Hourn.
Lors de la visite d’engagement et de présentation d’équipements avant la cérémonie, le SG Dr. Kao a été invité par Kun Kim à inspecter les équipements de recherche et de sauvetage du Cambodge et d’autres Etats membres de l’ASEAN, présentant les technologies et les capacités.
© Afrique54.net │Lucien Embom